Non, un plaid et une bougie ne suffisent pas à vendre un bien. Mais certains travaux, oui. Voici ceux qui valent le coup !
Ce qui fait grimper les prix
Localisation, superficie et… état général : trois piliers de la valeur immobilière. Les deux premiers sont hors de votre contrôle, le dernier, en revanche, est votre terrain de jeu.
Premier réflexe ? Le grand ménage ! « Il faut évidemment que le bien soit propre et bien rangé », rappelle Ken Van Peteghem (We Invest Bruxelles). Lumière, odeur, ambiance : chaque détail compte. « Si ça sent mauvais, ça sentira mauvais pour l’expert aussi ! », ironise-t-il.
Luminosité, photos et… performance énergétique
Un logement dépersonnalisé, lumineux, aux murs blancs, avec de belles photos de présentation : c’est exactement ce qui fait le mieux vendre. « Ces photos augmentent les demandes et aident à défendre le prix », selon Attila Tufekci expert en achat-vente.
Mais le vrai boss final, c’est le PEB. En Wallonie, une maison avec un PEB A se vend 60.000 € de plus qu’une jumelle notée G (L’Echo). À Bruxelles ? Jusqu’à 25.921 € de différence. Cela dit, une amélioration PEB peut coûter 10.000 € ou plus, donc à calculer avec soin.
Petites idées, gros impact
Marion Cheffert (Brico Planit) recommande pour sa part : peinture, sols, et astuces déco pour redonner un coup de jeune sans exploser le budget. Même l’électro d’expo peut faire la différence.
Priorité à la cuisine et la salle de bain
Ces deux pièces, chouchoutes des acheteurs, peuvent générer un retour sur investissement impressionnant. Selon Attila, 15.000 € de travaux peuvent booster la revente de 50.000 €. Pas mal pour une douche à l’italienne !
Vous désirez connaître toutes les ficelles ? Il vous suffit de regarder la vidéo ci-dessus !
Ouvrir Immovlan