La Belgique, paradis fiscal pour les proprios ? Pas si simple… Entre avantages séduisants et impôts bien cachés, le débat reste épicé mais le dernier épisode du rendez-vous des proprios vous aide à vous faire une opinion !
Les avantages qui font rêver
D’abord, l’argument massue : des loyers non taxés. Pour les investisseurs, l’idée semble séduisante… du moins, tant que la location ne passe pas par une société, la Belgique ne touche pas aux loyers privés.
Autre atout : l’absence de taxation sur la plus-value immobilière de la résidence principale. Ken Van Peteghem (We Invest Bruxelles) souligne d’ailleurs que notre pays est « l’un des seuls » à fonctionner ainsi. Pour les autres biens, après cinq ans, plus de taxe non plus !
Le revers de la médaille
Car même si les loyers se la coulent douce, le propriétaire, lui, passe à la caisse via le revenu cadastral, qui est figé dans le temps depuis… 1975 ett parfois mis à jour « de manière un peu sournoise », glisse David Leisterh, bourgmestre MR . En outre, il n’y a aucune réduction pour les biens qui ne sont pas reconnus comme des résidences principales.
Et les droits d’enregistrement ?
Là aussi, ambiance "à deux vitesses" : s’il s’agit d’une résidence principale, vous obtenez des droits réduits. En revanche, s’il s’agit d’un investissement, on passe à 12–12,5 %, selon la région. Ajoutez les frais de notaire, frais d’acte, intérêts… et la facture grimpe vite !
Pour tout savoir en détail, regardez la vidéo ci-dessus !
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