J’imagine que chez vous aussi, ça manque de rangements. Il n’y a jamais assez de placards à brol et d’armoires fourre-tout. Et c’est surtout le cas dans les pièces qui servent déjà de débarras. On empile, on empile toujours plus. Et c’est le capharnaüm complet.
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Alors, pour optimiser l’espace rangement, j’ai aménagé le plafond de la remise. Et vous pourriez en faire autant dans votre garage, si toutefois vous avez la chance d’en avoir un ! L’idée ? Suspendre des étagères au plafond pour y ranger des articles de saison ou des affaires auxquelles on n’a pas besoin d’accéder tous les deux jours.
Un support « transparent »
Personnellement, j’ai opté pour des supports grillagés, en acier blanc, qui permettent de bien voir ce qui est stocké là-haut. Le système de stockage que j’ai choisi se trouve d’ailleurs assez facilement. Les plus frileux se le procureront même en trois clics sur le net.
Facile pour les autres, sans aucun doute !
Le plateau grillagé, carré ou rectangulaire, est vendu avec les pattes qui permettent de le suspendre. Et trois vis fixent chaque jambe au plafond. Du solide et facile à installer. Franchement, le plus compliqué a été de tenir la foreuse à la verticale. J’ai ainsi eu la confirmation que j’avais du jus de carottes dans les bras. Disons que je le savais déjà, mais que je le sais désormais encore mieux. Zéro force. Mes bras tremblaient comme des feuilles après l’opération.
Pour le reste, en ce qui me concerne, je suis ravie du résultat. J’ai disposé 4 supports de part et d’autre de la remise et l’espace de rangement de la pièce a donc considérablement augmenté. Rien ne vous empêche de plutôt fixer des rails métalliques ou en bois au plafond : il vous suffira alors de glisser le bord de vos bacs en plastique dans ceux-ci. J’aime moins l’idée car cela signifie que lorsque vous voulez accéder au contenu du bac du milieu, il faut enlever les autres. Alors que ma plateforme grillagée permet, elle, d’accéder par les 4 côtés à tout ce qui y est entreposé.
Bref, les araignées ne sont plus les seules à habiter le plafond de ma remise. Et moi, j’aurai donc désormais, encore plus qu’avant, la tête en l’air !