Sorti de confinement, le marché de l’immobilier a connu une sacrée envolée. Le marché des résidences secondaires fut également concerné, ce qui n’est pas du tout au goût de certains locaux…
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les Bretons ont manifesté leur mécontentement en ce milieu de mois d’octobre. De « Finis les riches », à « BZH aux BZH », en passant par « vue sur mer pour les précaires », nombreux furent celles et ceux qui ont manifesté contre la politique immobilière de cette magnifique région française.
Le Figaro rapporte ainsi que dans certaines localités, comme Saint-Malo, plus d’un logement sur quatre est une résidence secondaire. Cette situation, que l’on connaît également dans certains coins de notre Ardenne, a poussé les locaux à manifester et à réclamer un classement en « zone tendue », soit avec une fiscalité plus contraignante pour les logements secondaires et une législation stricte encadrant les loyers de courte durée.