Petit à petit, les grands monuments européens se dotent de panneaux photovoltaïques, en ce compris l’emblématique Tour Eiffel parisienne.
Ce 27 septembre avait lieu la Journée mondiale du tourisme, orientée cette année sur les “investissements verts”. À cette occasion, le réseau européen d’installateurs locaux Otovo a rappelé que les plus grands sites touristiques du Vieux Continent compte de nombreux monuments, parfois centenaires, qui ont eux aussi emboîté le pas de la durabilité en équipant leurs toits et structures extérieures de panneaux photovoltaïques.
C’est notamment le cas de la Tour Eiffel à Paris, du Reichstag à Berlin ou encore de la prestigieuse Chapelle Sixtine au Vatican. Dans un cas comme dans l’autre, les panneaux solaires ont été subtilement intégrés au sein de l’édifice, sans en dénaturer l’apparence visuelle. Des monuments plus récents, comme l’opéra d’Oslo, ont pour leur part vu leur architecture intégrer directement ces nouvelles solutions de production d’énergie.
Et Otovo de rappeler que l’Union européenne s’est fixée pour objectif de quadrupler la capacité installée d’énergie solaire à un total de 600 gigawatts d’ici 2030. Pour atteindre ce cap ambitieux, chaque toit et chaque zone appropriée devra être équipée de la sorte. Et c’est d’autant plus le cas pour les édifices incontournables qui, de cette manière, donnent un signal fort en vue d’un changement de notre politique climatique. “La conception des panneaux solaires a évolué ces dernières années, tout comme leurs performances. Il n’y a plus de raison de ne pas penser à l’énergie solaire avec chaque nouveau bâtiment construit, et les monuments historiques existants peuvent également être facilement équipés de l’énergie solaire sans affecter l’apparence visuelle” a expliqué Andreas Thorsheim, le fondateur d’Otovo, à nos collègues de La Libre.
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