Une fois lancés dans la vie active, de nombreux jeunes font face à cette éternelle question : doivent-ils louer ou acheter un bien ? Voici quelques conseils pour vous aider à faire votre choix.
Location
Vous avez envie de bouger, voyager, ne vous voyez pas spécialement faire carrière dans une seule entreprise, voulez prendre votre temps…
alors louez !
Un des avantages de la location est la liberté qu’offre cette formule. Vous venez d’arriver dans la vie active, rien ne dit que vous n’aurez pas envie de vous essayer à d’autres expériences ou à d’autres horizons dans les prochaines années. Dans ce cas, un bien immobilier vous pèsera plus qu’autre chose. Autant attendre un peu avant de vous enchaîner à un bien.
De plus, vous aurez ainsi l’occasion de vos familiariser avec votre quartier sans pour autant vous y enfermer. Par la suite, si vous tombez sous le charme de l’endroit, vous pourrez tout à fait penser à investir dans un bien dans les environs et ce, en limitant les mauvaises surprises.
Achat
Vous êtes décidé, avez eu un coup de foudre pour un bien, désirez-vous poser en couple ou seul, voulez contribuer à un investissement qui vous servira pour plus tard…
… alors achetez !
Acheter un bien peut bien souvent constituer un budget important à l’achat mais s’avérer un très bon investissement, également quand on est jeune. En effet, en tant que jeune actif, les prêts ont souvent tendance à être remboursés plus vite, puisque vous ne devez pas encore tenir compte des dépenses qu’implique une famille. D’autant plus qu’une fois que vous aurez remboursé ce premier prêt, il vous sera tout à fait possible d’investir dans d’autres biens et d’ainsi vous permettre de générer un revenu complémentaire, que cela soit en louant ou bien en revendant avec plus-value.
Si vous désirez acheter un bien, n’oubliez pas de tenir compte des aides prévues pour les primo-acquéreurs. Comptez par exemple un abattement des frais d’enregistrement d’une hauteur de 21.875€ à Bruxelles, 2.500€ en Wallonie (mais possibilité de bénéficier des chèques habitats). Sans compter les primes si vous décider d’entreprendre des travaux de rénovation énergétiques dans les années suivants l’achat.